Sujet: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 15:24
Arthur Standfford feat Gaspard Ulliel
Je me nomme Arthur Standfford, j'ai 25 ans et je fais partie des pauvres. Je suis un(e) anglais, mon métier est bûcheron. Je vis en ce moment à Landscape Village. _________________________________________________
Les Pétales de la Rose
Pourquoi la bourgeoisie s’assied-elle de manière permanente, s’étouffant dans son propre confort ? Et comment peut-on laisser, de l’autre côté, la misère et la pauvreté continuer sa lente agonie sans lui apporter une seule main tendue ? Ce genre d’interrogations, trop peu de gens en ont conscience ou prennent le temps de les étudier. Si je me permets d’en arriver là aujourd’hui, c’est certainement parce que je connais les deux visages qu’apporte chacune de ses deux vies différentes. Ne voyez pas pour autant en moi l’image d’un homme de pensées ou un semblant de philosophe. Mais simplement l’image de celui qui a grandi dans le luxe avant de devoir transformer sa vie sous le coup de la misère. Etrangement, j’accepte mon sort. J’accepte mon sort car ce dernier m’a permis de m’ouvrir les yeux et de prendre conscience des véritables aspects importants d’une vie. Ce qui compte n’est pas la grandeur de votre richesse, l’étendue de votre demeure ou la taille qu’aura votre repas durant l’une de vos longues soirées d’hiver ou d’été. L’essentiel ne se trouve pas là-dedans. Les riches sont pauvres de l’essentiel. Ils oublient d’apprécier la beauté d’une nature qui s’offre à eux. Ils sont pauvres de la simplicité que nous apporte la vie de bien des façons. Ils sont délaissés de la véritable force de l’amour. Et ils ne possèdent pas la force que le malheur nous apporte une fois que l’on y est confronté. Paradoxalement à cela, je suis un être déterminé, un être de rage et animé de vengeance. Je peux accepter de vivre comme un miséreux aujourd’hui, mais je ne peux pardonner l’affront et le déshonneur que l’on a imposé à ma famille. Je ne peux cautionner que l’on ait ôté la vie de mon père pour des raisons d’état, pour le profit de manipulation politique et royale quelconque. Personne ne devrait avoir le droit de prendre une vie sous la simple influence de son bon vouloir. Qui peut s’octroyer juge d’une vie, d’une existence, d’une destinée ? Voilà pourquoi ma vengeance se concentre avant tout sur le déchéance de ceux qui ont anéanti ma famille, et non sur la mort de chacun d’entre eux. Prendre une vie en échange d’une autre… Je ne vaudrais pas mieux que ces bourreaux. Il ne fut guère aisé d’accepter la réalité que je devrais travailler, de gagner ma maigre pitance à la sueur de mon front. Cependant, j’ai appris à l’accepter également. Quelque part, cela m’amène à considérer que je conçois quelque chose, que je réalise quelque chose de mes journées et de ma vie. Simple bucheron, certes. Mais tout le monde a besoin de ce genre de personne, de ce genre de travailleur. J’obtins ainsi une véritable utilité. Je ne suis plus le fils d’un Comte qui se complait dans la richesse familiale sans prendre en considération ceux qui m’entourent. Mon rêve ? Pouvoir changer cette vie. Pouvoir renverser les nobles qui pourrissent la direction de notre ville, de notre capitale, de notre pays… Je ne cherche pas à renverser cela uniquement pour moi. Je tiens simplement à ce qu’aucun noble, ou qu’aucun pauvre n’en soit contraint à subir le même sort que le mien. La vie est précieuse, la vie est un cadeau… Et en tant qu’être vivant, en tant qu’être humain, notre devoir n’est pas de la contrôler mais bien de la préserver !
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LA PERSONNE QUI VIENT DU XXIéme SIÈCLE ♣
♣ Comme nous sommes très curieux, on voudrait connaître ton petit nom Mr Peeper et au passage ton âge: 24 ans. Bon maintenant on aimerait connaître l'endroit où tu as découvert l'adresse de Majestic Rose: PRD. Au fait, tu en penses quoi du forum? J'aime beaucoup l'idée de reprendre cette époque. Cela rend le forum encore plus particulier ! Et le design est magnifique =). Un autre mot à dire? Yahourt ! ♣
Dernière édition par Arthur Standfford le Jeu 7 Juil - 22:31, édité 5 fois
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Sujet: Re: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 15:24
Les Contes de la Rose
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Katherine – Arrête Arthur, je sais bien que tu n’es pas sérieux. Arthur – Non, tu verras ! Quand tu seras grande, je demanderai ta main à ton père et on se mariera. Katherine – Qui me dit que tu n’oublieras pas ou que tu ne changeras pas d’avis ? Arthur – Car je te le promets ! Katherine – Alors j’accepte…
Une promesse d’innocence, une promesse sincère, une promesse pure… Rien de plus qu’une simple promesse d’enfance. A cette époque, nous étions totalement insouciant et incapable de deviner de quelle façon la vie nous garderait côte à côte ou, au contraire, nous séparerait. Je n’avais que quatorze ans à l’époque : apogée de la vie de rêve que je menais dans le domaine de ma famille. Apogée de toutes ses journées que je ne cessais de partager avec Katherine dans la plus profonde affection et la plus grande des innocences. Nous n’étions qu’amis… Ou, tout du moins, nous contentions de nous comporter comme tel. Toutefois, le jour même de cette demande, aussi légère que sincère, je me souvins encore des battements de mon cœur dans ma poitrine. Mon regard se perdait dans le sien, nos mains scellées l’une à l’autre. Jeunes… Mais pour ainsi dire officiels dans notre démarche ! Ce souvenir, cette image, ce fut le plus beau qui s’imprégna dans mon esprit de toute mon enfance et de toute mon adolescence. Aucun autre moment en ce bas monde ne pourrait égaler la magnificence de cet instant. Un instant qui débuta dès que nos doigts se frôlèrent… et qui prit timidement fin lorsqu’elle dut rentrer juste après, nous disant alors au revoir d’une simple apposition de son front contre le mien, les yeux fermés. Avant qu’elle ne disparaisse, je lui offris une rose, pas n’importe laquelle. Il s’agissait d’une Scarlett Carson, nous n’en trouvions qu’en lisière du domaine de ma famille. Quelque chose devenait différent, cette simple proximité n’était pas identique, n’était pas semblable à celle que nous partagions sans cesse jusqu’ici. Peut-être était-ce mon âge, ma puberté qui me faisait penser de la sorte. Néanmoins, encore aujourd’hui, je peux affirmer que ce n’était pas qu’une simple idée folle, pas pour moi. Dernière trace de cette existence, je ne peux me résoudre à l’oublier… Quand je suis rentré chez moi, j’avais le cœur léger, l’esprit en fête. C’était avec un grand sourire que je retrouvai ma sœur et mon frère pour échanger nos souvenirs et plaisirs de cette journée avant que nous retrouvions nos parents pour le grand repas du soir. Il était de coûtume que nous dinions tous ensemble sous l’écoute des sermons de mon père. Des sermons ? Oui, destinés à nous éveiller à la réflexion et à la libre pensée. Fidèle à sa majesté et à son autorité, il n’en demeurait pas moins prudent. Comme il me le répétait sans cesse : ‘Être noble est un cadeau, mais rien ne vaut la liberté de ta propre pensée mon fils.’ Chacun de ses discours allait dans le même sens… Et je ne peux nier que j’étais fasciné par la manière dont il nous expliquait les choses, dont il nous expliquait la vie, avec autant d’aisance que de ferveur et de passion.
Gardes – Au nom de sa Majesté d’Angleterre, nous vous mettons aux arrêts !
Alors que notre repas se passait aussi paisiblement que d’habitude, un corps de la garde royale surgit dans notre salon pour mettre mon père aux arrêts. Abasourdi, je ne savais que dire, ni que faire, accueillant simplement contre moi ma petite sœur qui se sentit aussitôt apeurée et effrayée par ce débarquement soudain. Ma mère n’osa protester pendant que mon père sourit ouvertement à la garde royale. A croire qu’il le savait, à croire qu’il l’avait deviné. Il nous jeta un regard pour nous rassurer, un regard pour nous faire comprendre que tout irait bien, d’une façon ou d’une autre…
~ Cinq années plus tard ~
Depuis ce soir-là, notre vie avait radicalement changé. Adieu le confort et le luxe de notre domaine. Adieu ses journées de pure liberté que pouvait nous offrir notre statut privilégié de nobles. Adieu les après-midi dans notre domaine et, surtout, adieu Katherine et notre merveilleuse floraison de Scarlett Carson. Tout cela n’était plus qu’un simple passé avec lequel je ne pourrais en aucun cas renier, je le sentais. Trahison ? Oui, tels étaient les raisons du déshonneur de ma famille. Heureusement pour nous, mon père ne resta pas longtemps aux arrêts. En gage de punition, ils avaient préféré nous confisquer nos titres, nos biens, le domaine de nos ancêtres… Au moins étions-nous toujours en vie, même si notre père ne voulait jamais me donner d’explication quant à ce qu’il s’était produit. La découverte de la vérité ? Je le fis un soir alors que je devais être au lit mais, incapable de dormir, je surpris une conversation entre mes parents. C’est ainsi que je compris que le véritable ennemi, le véritable responsable n’était pas le roi lui-même : mais bien un certain William de Devonshire. C’était de lui que l’impardonnable survint alors que nos espoirs avaient regagné de lumière. Cinq années à vivre comme des paysans, comme des miséreux. Et, bien que je ne voulais pas m’accorder ce genre de croyance, mon père revint un jour avec la promesse de nous faire retrouver notre ancien Eden. Certes, je réagis par un sourire, j’essayais de manifester une profonde joie, un grand soulagement… Mais quelque chose en moi ne cessait de me tourmenter et de m’inquiéter. Pourquoi aurions-nous cette chance ? Pourquoi le roi nous apporterait sa grâce après nous avoir déshonoré sans le moindre remord ? Comment pouvais-je imaginer que la seule chose possible équivalait à redevenir noble ? Ce pressentiment étrange, douloureux et dérangeant, trouva sa raison d’être un froid matin d’hiver, en place publique.
Garde – Sous l’ordre de sa Majesté d’Angleterre, Alfred Standfford ici présent est condamné à mort pour trahison envers la cour. Le bourreau ici présent se chargera de l’exécution. Sa Majesté espère que votre loyauté envers la couronne n’en sera aucunement affectée.
Il n’y a rien de pire que de voir votre père ne devenir qu’un simple gibier de potence. Sous les hues d’une foule en désaccord et colérique, d’autres gardes amenèrent le corps de mon père, sévèrement attaché. La tête de ce dernier trouva sa place sur un tréteau de bois tandis que le bourreau préparait sa hache pour accomplir le châtiment prononcé. Ma mère pleurait toutes les larmes de son corps en serrant ma sœur contre sa poitrine, afin de lui épargner cette vision. Mon frère ainé, quant à lui, était tétanisé par la violence de ce spectacle et le choc qu’une telle vision pouvait produire. Pour ma part, je tremblais de toute part. J’étais effrayé… Mais je voulais empêcher cela, je voulais tout faire pour qu’il ne meurt pas…
Arthur – Noooooooonnnnn !!! Arrêtez !!! C’est mon père ! Il est innocent !!!
Je courrai vers la tribune de la place publique. Je me faufilai à travers la foule. Des gardes arrivèrent pour me saisir aussitôt et me retenir de toutes les forces. Je me débattais aussi fortement que possible mais je n’arrivais pas à échapper à leur étreinte malgré tout !
Arthur – Lâchez-moi !!! Lâchez-nous !!! Libérez-le !!! Père – Arthur !! Arthur – Papaaaaaaaaaaa !!!
Les larmes commencèrent à glisser le long de mes joues. Dans leur sadisme, les gardes marmonnèrent quelque chose entre eux avant de me balancer à l’avant-scène. Dans leur folie, ils estimaient que je pourrais être près de mon père en étant juste en face de lui pour la décapitation.
Arthur – Papa… Père – N’oublie pas ce que je t’ai toujours dis : être noble est un cadeau, mais rien ne vaut la liberté de ta propre pensée et de ta propre vie. Souviens-t-en mon fils…
J’hochai doucement de la tête, mes yeux se crispant d’avantage sous le flot de mes larmes incessantes. La foule se tut alors subitement, il n’y eut plus de bruit. Plus de lumière, plus de joie, plus de bonté. Tout n’était que noirceur, désespoir et tristesse. Cette image de sa tête tombant du tréteau… Les gardes qui me repoussèrent au sol, dans la boue, en m’adressant leurs plus sournoises moqueries. Telle était la plus grande leçon de vie que je pus alors apprendre : les pauvres et les simples paysans n’étaient qu’une montagne de bétail qui ne méritait pas une seule once de respect et de reconnaissance. Et, cet enseignement, je le vécu de la façon la plus détestable possible.
~Aujourd’hui ~
J’aimerais pouvoir vous dire que nous avons été fort, que nous avons su surmonté cette épreuve. Ma haine ne serait pas si grande et si profonde si ce jour funeste n’avait pas entraîné autant de conséquences aussi tragiques que détestables. Personne ne devrait à avoir vivre cela… Non, même à mon pire ennemi je ne souhaiterais pas ce calvaire… Même la tentation est grande envers Devonshire ! Mais malgré toute ma rancœur, je n’ai pas autant de bassesse que lui ! Lorsque mon père fut décapité, ma mère s’enferma dans un mutisme, suivi d’une lente agonie de laquelle nous ne pûmes la sortir. Dépérissant de jour en jour, j’essayais de la forcer à manger, j’essayais de lui apporter une trace de sourire ou de réconfort. Mais elle ne m’écoutait pas, elle ne me voyait pas. Sa seule réaction était sans cesse de se poser à la fenêtre de notre chaumière pour y regarder à travers et attendre simplement le retour de l’homme qu’elle aimait, comme si ce dernier n’était parti que quelques jours, prenant tout simplement du retour sur sa date de retour. Quelque part, j’aurais souhaité que mon frère puisse m’aider mais, nous ne le voyions presque plus jamais. Il partait des journées entières, ne revenant que très tard dans un état déplorable où les vapeurs de l’alcool se sentaient à des milliers de kilomètres à la ronde. En réalité, je remarquai bien vite qu’il noyait sa peine et sa douleur, en espérant être suffisamment saoul pour ne pas se rappeler de tous les cauchemars qu’il faisait durant la nuit. Il avait sa façon de combattre cette épreuve, et je ne pouvais aller contre… Et, enfin, ma petite sœur, elle, était encore trop jeune à cette époque. Elle n’arrivait pas à comprendre la portée de la chose et semblait avoir bloqué l’image de la mort de notre père dans son esprit. A la place, elle ne cessait de rester près de moi. Vu l’état de nos deux aînés, j’étais le seul capable de m’en occuper, quoiqu’il puisse alors en coûter. Elle voulait toujours savoir pourquoi papa était parti, si c’était pour cela que maman ne parlait plus jamais. Et, bien évidemment, n’arrivait pas à comprendre pourquoi notre grand frère avait tellement changé vis-à-vis de nous. Ce ne fut pas facile mais, aussi convaincant que je pouvais alors l’être, je lui expliquai que notre père était parti au ciel pour le bien de tous. Il avait simplement donné sa vie pour le bien de notre royaume, pour le bien de notre pays. Je me chargeai de lui montrer la meilleure face de notre géniteur et, par-dessus tout, je voulais l’éviter d’être corrompue par la colère, par la haine et par la rage qui bouillonnait à l’intérieur de moi. Elle méritait mieux que de s’enfermer dans un tel cercle vicieux.
Au bout de quelques semaines, ma mère finit par ne plus jamais s’éveiller. S’endormant dans la chaise où elle avait l’habitude de s’asseoir jour après jour, je ne réussis plus à la sortir de sa torpeur. Son chagrin fut si fort qu’il la tua. Il n’y avait plus d’espoir pour son âme meurtrie et, silencieusement, je versai une seule et unique larme tout en venant caresser une ultime fois son visage. J’aurais aimé qu’elle soit plus forte, j’aurais aimé qu’elle m’aide à perpétuer la mémoire de mon père en se montrant aussi forte et digne qu’il puisse l’espérer depuis là-haut. Mais, l’amour, aussi merveilleux soit-il, peut aussi vous entrainer sur cette pente infernale. Je dois bien avouer que mon frère suivit le même chemin quelques jours plus tard, sans que je ne comprenne le pourquoi du comment. Ses éternelles sorties l’avaient finalement mené sur les chemins d’une étrange maladie que nous ne sûmes identifier et encore moins soigner. Nous n’avions pas d’argents, nous n’avions personne dans notre sillage pour nous apporter un tant soit peu d’aide et d’attention. Voilà comment, lui aussi, suivit les ténèbres d’une destinée tragique sans que je ne puisse y changer quoi que ce soit, malgré la force de mon envie et de ma hargne de le garder en vie. Il n’y eu aucune autre alternative… C’est fiévreux, solidement enfermé dans un lit, qu’il finit par baisser définitivement les bras, à jamais… Nous n’avions plus de toits, nous n’avions plus rien pour vivre. Ma petite sœur était en proie au désespoir et à la misère. Je ne pouvais tolérer qu’elle vive cela sans la moindre impudence. Je me moquais de mon sort, tant qu’elle, elle réussissait à survivre, d’une façon ou d’une autre. Néanmoins, ne pouvant réussir à subvenir seul à ses besoins, je décidai de la laisser s’endormir au creux d’une nuit calme avant d’aller la porter secrètement dans un couvent. Peut-être était-ce une erreur… Peut-être qu’elle ne me pardonnerait jamais… Mais au moins elle pourrait mener une vie décente qui lui aiderait à surmonter sa peine et son chagrin. Elle serait à l’abri de tout et ne manquerait de rien. Elle le méritait, au nom de sa pureté et de son innocence...
Depuis cette époque, je n’ai cessé de me battre pour vivre, pour exister. Je continuai d’enchainer des petits boulots et autres services par ci, par là. Même si nous étions tous pauvres, au moins restions-nous solidaires dans l’adversité, ne laissant jamais tomber l’un des nôtres. Plusieurs d’entre eux me donnèrent l’opportunité d’avoir une première chance en termes de travail. Faucher dans les champs, travailler sur la charpente de différentes chaumières et, finalement, m’épanouir dans une simple condition de bûcheron. Ce n’est pas grand-chose, ce n’est pas le luxe comme on dit. Mais, derrière cela, ça me permet de vivre et d’avoir un semblant de situation. Au moins j’ai ma propre chaumière, j’ai de quoi me nourrir et, surtout, j’ai de quoi observer une misère qui me conforte dans cette idée de vengeance mais, surtout, de renversement du pouvoir. Après tout, comme le disait si bien mon père : être noble est un cadeau, mais rien ne vaut la liberté de sa propre pensée et de sa propre vie.
Dernière édition par Arthur Standfford le Jeu 7 Juil - 22:30, édité 6 fois
Marianne Foster
Une rose est belle ♣ Ses épines piquent
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Sujet: Re: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 15:32
Ahhhhhhhhhhhhhh UN ARTHUR *_*
J'attendais ce personnage avec impatience Si tu as des questions n'hésites surtout pas, on est là pour y répondre !!
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Sujet: Re: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 15:40
Bienvenue.
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Sujet: Re: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 15:42
Un grand merci à toutes les trois pour votre accueil
Je n'hésiterai pas en cas de besoin Antanasia (aa) Et, surtout, un grand merci à vous d'avoir créer un tel prédef
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Sujet: Re: Arthur - La vie d'un croquant Jeu 7 Juil - 16:09
Bienvenue et bon courage
Guildford Fleming
♦ Lord now, actually ♦ But there's still rage inside
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