Mon nom est Henri de Somerset, qui je suis ? Je suis le fils d’Eleanor de Somerset et Richard de Somerset. Qui sont-ils ? Mon père est un homme que j’apprécie énormément et ma mère et bien … elle est ma mère. Mais ce n’est pas de mes parents que vous souhaitez connaître l’histoire n’est ce pas ? Je vais donc vous conter mon histoire mais si vous aimez les histoires sans histoire ou la vie est simple alors je vous conseille de quitter cette fiche car ma vie n’est pas si simple qu’on pourrait le croire. Vous restez ? Très bien alors installez vous sur un canapé ou confortablement sur un coussin et je vais vous racontez.

Je suis née en 1518, en cette période là le temps était beau et chaud, c’était l’été. Mon père est le comte Richard De Somerset et ma mère sa femme, Eleanor De Somerset. Tout deux sont marié et pourtant je suis comme qui dirait l’enfant du secret, l’enfant qui n’aurait pas du naître d’un autre homme. Celui qui fait honte. Reviens à ma naissance à cette période de mon histoire je ne savais pas ce détail. Il me fut connu lorsque j’eus atteins l’âge de douze ans. Douze années c’étaient écoulés depuis le jour ou ma mère m’avait mis au monde. J’apprenais alors que mon père que je croyais être mon père biologique ne l’était pas. Comment l’ai-je appris ? Je suis de nature curieuse et j’écoutais comme qui dirais aux portes, j’ai entendu une conversation entre deux servantes et j’ai su la vérité qui m’a profondément marqué. A partir de ce jour j’ai vu ma mère différemment, je lui en voulais et lui en veux toujours. Pourtant mon enfance à été belle, je n’ai manqué de rien.

Je me souviens du jour ou j’ai découvert la vérité comme ce fut hier. Je me trouvais dans le couloir du deuxième étage de notre demeure, deux servantes pliaient le linge dans la pièce qui leur était réservé. Lorsque j’étais passé pour alors rejoindre la bibliothèque j’ai surpris les deux femmes à parler des infidélités de ma mère. J’étais peut être encore jeune pour savoir ce qu’était ce genre de chose mais je n’étais pas bête pour autant, j’avais déjà à cette période un esprit intelligent. Je me suis blotti dans un coin entre le mur et la porte pour les écouter.
-Servante 1 : … c’est comme ce petit Henri, le pauvre garçon. Pense tu que Messire de Somerset est au courant que sont fils n’est pas le sien ?
-Servante 2 : Il doit l’être, mais en homme honorable qu’il est il ne voudra pas qu’on dise que ce n’est pas le sien.il ne faut pas en parler Jane, si jamais on ou entendais ce serait terrible.
Je me souviens ensuite de n’avoir pas voulu entendre la suite. Je suis parti en courant da ma chambre. Je n’étais pas le fils de mon père, mais de qui alors ? Je ne voulais pas le savoir, ce ne pouvait être un homme admirable s’il était conscient d’être l’amant de ma mère. Je n’ai jamais dit à mon père que je savais qu’il ne l’était pas. Je le gardais pour moi car je me doutais alors que ça le faisait souffrir un jour ou l’autre.

Aujourd'hui j'ai dix-huit ans, mon adolescence m'a fait souffrir, mais j'ai souffert en silence. Il y a peu je suis tomber amoureux. L'amour emporte n' importe quel homme seulement, celle pour qui j'ai tant d'affection n'est pas du même rang que moi cette situation me met dans l'embarras mais mon choix et presque choisi, je sais que mon père risque de m'en vouloir et j'hésite encore. Je sais que mon choix aura des conséquences quel qu'il soit et j'espère que je ne le regretterais pas.
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