Belle et douce Angleterre, ton royaume si grand abrite des heures sanglantes. En 1536, le roi Henry VIII condamne sa femme Anne Boleyn à la mort. Exécutée son sang tâche encore le parvis de la Tour. Une dizaine de jour plus tard, le peuple anglais a une nouvelle reine à aimer, la douce Jeanne Seymour.
Mais ne parlons pas de notre bon roi Henry, sa vie au combien intéressante est bien souvent ennuyeuse, surtout depuis qu'une blessure à la jambe l'empêche de pratiquer toutes activités sportives. Nos chers jouteurs vont être heureux, maintenant ils vont pouvoir être sans pitiés face à leurs adversaires qui ne seront pas une tête couronnée.

Le pays de la rose, qui se veut glorieux accueille de nouveaux artistes, tous protégés par une noblesse en quête de plaisir.
Les plaisirs, voilà ce qui animent la noblesse. Avide de s'amuser, elle sera capable du pire comme du meilleur, même si cela va à l'encontre de l'Église. Les étrangers viennent par dizaine découvrir cette Angleterre dont le monde vante la splendeur.
Splendeur oui l'Angleterre est une splendeur, elle qui est la seule a ne pas entrer en guerre. La glorieuse rose renforce l'architecture de son pays et les arts sont privilégiés. L'amusement voilà ce que notre bon roi veut pour sa chère noblesse, ainsi que du travail pour les pauvres gens du peuple.
Le peuple celui, qui en pâti toujours le plus, les riches s'amusent et les pauvres triment leurs vieux os au travail, sans qu'on ne prenne en considération leurs envies et leurs situations.

Par contre, un fléau met en commun les pauvres et les riches, celui de la main de sa majesté le roi. Et oui, si vous lui déplaisez, vous serez emprisonné, torturé voir même tué, que vous soyez riches ou pauvres, le roi ne fera pas la différence.

Ainsi va la vie au XVIéme siècle, les hommes comme les femmes sont les instruments du destin. La maladie tout comme la trahison ne sont jamais loin pour vous faire vivre les pires cauchemars dans ce siècle qui se veut prospère.
Qui serait vous? L'orgueilleuse noblesse, la joyeuse bourgeoisie ou encore le peuple travailleur? Entrez dès maintenant dans la vie au XVIéme siècle et passer saluer notre bon roi Henry VIII et à sa douce femme Jeanne Seymour (si elle est encore là).

contexte écrit par Mari-Jane

Notre monde aurait pu être beau, fait de bonheur et de liesses, mais voilà, le destin en a décidé autrement, mettant dans nos vies de nombreux obstacles.
Lors du mariage de notre bon roi Henry VIII, nous étions tous heureux, nous fêtions cet événement, que nous soyons riches ou pauvres, anglais ou étrangers. Le bonheur était là et nous dansions sous les étoiles. Mais voilà, ce bonheur fût de courte durée, laissant place à la peur et la mort.
La réception au Palais de Whitehall était belle, somptueuse de richesses, le roi était heureux au bras de sa nouvelle femme. Cependant, un homme arriva, épée à la main et il tenta de tuer le roi. Un courageux valet, voulant protéger le roi, fût sa victime. L'homme s’enfuira blessant au passage de nombreux nobles. Tout en hurlant « Longue vie à la Rose Noire », il laissa derrière lui le chaos.
L'homme courra longtemps avant d'être arrêté dans les rues de Londres, par un courageux chevalier, qui fût épaulé juste après par les soldats du roi. L'arrestation de cet homme suscita de nombreuses questions. Qu'est ce donc cette Rose Noire ? Pourquoi cet assassinat ? Torturé l'homme ne parla pas.
On aurait pu penser que le mal allait se terminer avec l'arrestation de cet homme ? Non la Rose Noire furieuse allait engendrer le chaos dans les rues de Londres, pour venger son compagnon d'armes.
Les flammes de l'Enfer se mirent alors à atteindre la belle Londres, causa des dégâts irréversibles. La vengeance de la Rose Noire était parfaite. Cette nuit là plusieurs quartiers de Londres brûlèrent et bon nombre de personnes perdirent un proche.
Henry VIII dans tout son orgueil décida d'attaquer en plein front l'organisation qui voulait sa mort. C'est ainsi qu'il organisa minutieusement le procès et l'exécution du traître, celui qui avait tenté de le tuer.
Cependant rien ne se passa comme prévu puisque l'assassin mourut sous le tir d'une flèche et non pas entre les mains du bourreau. La Rose Noire était fière, elle avait encore frappé.

écrit par Mari-Jane