Coucou les présents Parce que oui, d'après ce que je vois il reste toujours quelques irréductibles ici

Je pense toujours à ce forum, tout le temps en fait et je me pose des questions sur ce qui pourrait le faire revivre. Tout d'abord, je ne pense pas que reprendre ce contexte-ci serait une solution. Au bout d'un moment on finissait par tourner en rond, donc si je devais refaire MR, ça ne serait pas sous cette époque d'Henry VIII. D'ailleurs d'autres forums exploite déjà ce personnage, donc pourquoi pas aller voir ailleurs.
J'ai réfléchi longuement et plusieurs moments me sont venus:

▬ La mort d'Henry VIII, l'accession au pouvoir de son fils Edouard, sous l'influence de son oncle. Bon ça serait moins drôle, voilà pourquoi je pars sur une autre option.
▬ La mort d'Edouard, l'accession de Jeanne Grey, la prise de pouvoir de Mary Tudor. Ahah du mouvement enfin, la pauvre Jeanne subira son funeste destin, on aura un peu de sang...
▬ La période elisabéthaine, avec le conflit avec Marie Stuart.

Bon je dois dire que ma préférée c'est la seconde, il y aurait tellement de choses à faire. Persécution des protestants et tout ça
Vous en pensez quoi ? Parce que si je suis là c'est pour vous demander votre avis et voir si pour vous ça peut le faire. MR ne renaitra pas de suite de ses cendres, mais sait-on jamais ^^ Il pourrait bien un jour revenir sur la toile

Citation :

"on les retrouve X ans plus tard, complètement différents, genre mariés, avec une famille, etc." (remarquez que ceci est un exemple*sbaff*)

Spoiler:

Citation :

« Le roi est mort, vive la reine ! » ainsi était les paroles des anglais, en ce 6 juillet 1553. Cet enfant, aux joues encore juvéniles, fragile de naissance, venait de s’éteindre, après une longue maladie. Le fils de Henry VIII avait préparé cette mort bien minutieusement, mais ses choix allaient changer la face de l’Angleterre. Autour de moi, je voyais le peuple en larmes, pleurant, cet enfant roi, si bon pour ses sujets, mais peu savait, qu’à peine le roi sur son lit de mort, l’une des plus grandes intrigues du royaume allait se jouer. Protestant, j’étais et je vis le nom de Jane Grey être couchait sur le testament du jeune Edward VI, il avait craint le retour du catholicisme sous le visage de sa sœur Mary Tudor, qu’il avait été prudent. Cependant, je pus voir que sa prudence n’aida pas à changer le destin de notre belle Angleterre. Le pays allait souffrir, nous allions souffrir. Jane Grey fut mise sur le trône, cette belle et douce jeune fille ferait une magnifique reine. Elle était protestante et pour le bien de notre pays, elle allait pouvoir continuer la politique de réformes commençaient pas le fils de Henry le Huitième. Pourtant, un orage allait éclater. Mary Tudor avait, du soutient, beaucoup d’amis, prêts à tout pour la mettre sur le trône anglais. Elle était fière, combattante et ce qu’elle voulait, elle l’aurait. Avec beaucoup de tact et de bons arguments, la fille ainée de Henry rassembla une armée et le 19 juillet 1553, elle entra triomphalement dans Londres et démis de ses fonctions, la jeune Jane Grey. Mary avait la couronne, elle avait le peuple et beaucoup de popularité, rien ne pouvait désormais, lui retirer ce pour quoi elle était née : devenir reine. La pauvre et douce Jane, reine pendant neuf jours fut enfermées à la Tour, attendant que son sort soit décidé par la nouvelle reine.

Moi protestant, j’avais vu venir ce nuage noir sur mon pays, un nuage qui prenait le nom de catholicisme. Mary ayant la même religion que feu Catherine d’Aragon, elle mit à nouveau en place les doctrines catholiques, pour le plus grand bonheur d’une partie du peuple. Pour moi, une longue cavale allait commencer. Je refusais de me soumettre à cette reine, je devais donc vivre cacher. Bientôt, nous allions devoir nous battre, pour nos idéaux, pour notre liberté, notre unique espoir réside maintenant en la personne d'Élisabeth Tudor, princesse mystérieuse, mais qui d’après certaines personnes partageraient nos croyances.

Je ne sais de quoi sera fait notre avenir, ni ce qui adviendra de notre pays, tout est incertain. Pourtant, notre destin, nous sommes les seuls à pouvoir l’écrire. Ces écrits seront peut-être mes derniers mots, ma vie pourrait finir à n'importe quels instants. Ces temps sont si incertains...

Écrits d'un protestant 12 juillet 1553