Je me nomme Stephen Elijah Buckett, j'ai 35 Ans et je fais partie des Protégés. Je suis un(e) Anglais, mon métier est Acteur ainsi qu'Ecrivain. Je vis en ce moment à Londres .
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LA PERSONNE QUI VIENT DU XXIéme SIÈCLE ♣

♣ Comme nous sommes très curieux, on voudrait connaître ton petit nom Solene* et au passage ton âge: 17 yo.. Bon maintenant on aimerait connaître l'endroit où tu as découvert l'adresse de Majestic Rose: Je suis administratrice.. Au fait, tu en penses quoi du forum? Wahshahaha banga !. Un autre mot à dire? Vive MR \o/. ♣

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Chapitre I ♔ La vie, tout comme les histoires a un commencement ...

Le tendre Londres dormait paisiblement, tandis que la douce Aryana Buckett souffrait des douleurs que lui donnait son enfant sur le point de naitre. Le jour allait bientôt se levait, et l’enfant naitrait. On aurait dit que l'enfant avait été programmé pour naitre au lever du soleil, car effectivement, dès que les premiers rayons du soleil apparurent, le travail commença. Après d’interminables minutes à souffrir encore, et encore, la courageuse Mme Buckett accouchait de son premier enfant. C'était un petit garçon, et les deux parents surent tout de suite comment l'appeler : Stephen Elijah Buckett. Les Buckett n’étaient pas bien riche, mais le fait que l'enfant soit désiré par le couple, encore jeune, promettait malgré tout une vie heureuse à cette famille. Après tout, l'argent ne fait pas le bonheur, n'est-ce pas ? Dès ses premiers mois, le bambin montra une fâcheuse tendance à aimer qu'on le remarque, enfin qu'on ne l'oublie pas d'où les nombreux pleures, et petits rires malicieux.
Le père, Abraxas Buckett, était forgeron alors que sa mère ne travaillait plus depuis sa grossesse rejetait de tout travail de domestique chez les nobles.

Si vous êtes arrivés jusqu’à cette partie de notre histoire, je suppose que c'est tout simplement que pour le moment tout est plutôt rose, mais sachez que si vous décidez de continuer de lire l'histoire de Stephen Buckett ... Les mouchoirs seront de circonstances. Âmes vagabondes, ou Tristes lutins, cette histoire ne fera qu'accentuer votre tristesse et votre désarroi alors Cachez donc ces pages ...

Quand le petit garçon déjà bien précoce atteignit son cinquième anniversaire, son père fut touché par une grave maladie inconnue. Des jours et des jours, le Père Buckett resta dans son lit, et la famille dépérissait peu à peu n'ayant plus rien pour vivre depuis que le forgeron ne travaillait plus. La peau sur les os, madame et monsieur Buckett essayait l'un comme l'autre de tenir le coup pour l'enfant, mais Monsieur Buckett dont la maladie progressait s'endormit, un soir d'orage, pour un sommeil éternel sous le regard de son jeune fils, traumatisé, à qui il avait prédit, dans ces derniers mots qu'il serait dans un jour prochain ... un prodige ...

Ces derniers mots restèrent dans la mémoire de ce petit garçon, attristé, par la mort d'un père dont il était proche. Il ne comprenait pas tout, à propos de ce qui était arrivé, et se posait beaucoup de questions, mais une chose était sûr, le souvenir de son père serait gravé a tout jamais, jusqu'à la dernière syllabe de sa destinée, dans sa mémoire. Ces derniers mots avaient été une prédiction, et même si à ce moment-là, le petit garçon ne savait rien de son futur succès, il croyait aux mots de son défunt père ...

© Présentation réalisée par Mari-Jane, le plagiat est interdit.

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Chapitre II ♔ Changer de vie brutalement sans avoir le choix induit parfois de lourdes conséquences ...

La mort de Monsieur Buckett avait laissé un grand vide dans la petite maison des Buckett, et la tristesse se faisait ressentir chaque jour. Aryana et son fils, Stephen ne pouvait plus vivre, n'ayant pas d'argent. Elle commença donc à rechercher du travail, et après quelques mois de dur acharnement, mais aussi des mois à vivre difficilement, elle avait trouvé un poste chez un comte qui recherchait une domestique. Stephen et sa douce maman durent donc aller vivre chez le comte dans une chambre de bonne., Peu à peu, ils purent vivre mieux, dans de meilleurs conditions, et le petit garçon sentait chez le comte, quelques choses de bizarre. En effet, l'homme, bien que gentil, était bien trop proche de sa mère, et essayait en somme de lui mettre le grappin dessus.

L'homme proposa à Aryana Buckett des précepteurs pour son fils, et encore une fois, cela étonna le petit homme qui se doutait des manigances du noble pour obtenir les faveurs de sa mère. Aryana ne voulant pas paraitre mal poli se laissa approcher par son maitre, et cela permit qu'on puisse apprendre beaucoup de choses à son fils. Souvent, le petit garçon disait à sa mère qu'il n'aimait pas que le maitre la touche, et la jeune femme répondait que l'homme n'était pas un mauvais bougre. Aryana pensait que l’homme souhaitait les aider, et qu’il ne cherchait en aucun cas à remplacer Abraxas Buckett. Stephen avait vu clair dans le jeu du noble, il ne voulait pas les aider, enfin pas lui en tout cas, juste avoir sa mère, et donc l'aider elle. Cela lui faisait plaisir, mais il savait que si sa mère apprenait qu'en réalité, l'homme serait bien heureux de se débarrasser de son fils, elle serait bien déçue. Les années passèrent, et le jeune homme apprit de nombreuses choses alors que sa mère, elle comprenait d'année en année, que le noble n'était pas ce qu'il disait être. Aryana n'était pas amoureuse, mais elle était bien avec lui, et il s'était occupé de trouver des précepteurs pour son fils, alors elle ne pouvait le blâmer.
Stephen, au fil de son apprentissage, se prit d'amour pour l'écriture qui lui permettait d'exulter ses plus grandes frayeurs, comme ses plus grandes joies. Il aimait écrire des histoires, il n'avait que 15 Ans et écrivait déjà de belles choses qui étonnaient beaucoup ses précepteurs, et surtout sa tendre maman. Peu à peu, la prédiction du père se révélait. Il connut le théâtre qui avait fait son apparition en représentation depuis peu d'années tout de même. Il appréciât cette pratique tout autant. Le jeune garçon appréciait énormément changer de caractère, et se changer totalement pour tromper les gens, ou bien les divertir, les faire rire. Il nourrissait un rêve celui de donner des spectacles, et de pouvoir vivre de ses écrits.

L'année de ses 16 ans, le jeune homme montrait réellement son intelligence comprenant facilement chaque leçon de son précepteur principal. Sa mère, toujours dans les griffes du comte qui avec la vieillesse devenait méchant et violent avec elle. Elle ne pouvait plus le supporter, et restait dans cette situation que par crainte.

Un jour, un homme vint parler affaire avec le comte. Stephen espionnait du haut de l'escalier, sa mère devant faire bonne figure comme une bonne compagne qu'elle était devenue pour le comte face à l'invité. Soudain, Stephen entendit parler d'un marché, un marché que de toute évidence, ils avaient déjà prévu bien avant, mais dont Aryana n'était de tout évidence pas au courant. Soudain, on appela le jeune homme qui dut donc descendre, et le petit prodige vit des bagages posaient là. Mille et une questions vinrent se poser dans sa tête : Qui partait ? Lui ? Le comte partait-il en voyage avec sa mère ? Non, c'était surement une coïncidence, et les valises étaient à l'homme. Oh Ni Aryana, ni son fils ne s'attendaient aux prochains évènements, oui, personne ne s'y attendait, sauf bien sur les deux négociateurs. L'inconnu avait salué le "couple", puis avait demandé au domestique de prendre les valises, puis dans les dernières paroles, il disait à Stephen : "Mon garçon nous partons !". Stephan restait immobile. Il ne comprenait pas. Aryana courait vers son fils criant sur son compagnon ; "Comment ? Comment pouvez-vous me faire cela pour de l'argent ?". Le comte, d'un air hautain, fit signe à ma mère de se taire, mais elle n'en fit rien. L'inconnu de noble rang reprit : "Monsieur le comte, notre arrangement est brisé. Je n'aime pas les mensonges, Monsieur, et je suis fort déçu.". L'homme s'en alla, sans se retourner.

Dans les yeux du perfide comte, on pouvait remarquer une haine incroyable envers Stephen. Il avait voulu s'en débarrasser, et cette fois, Aryana ne voulait plus rien risquer, quitte à ne plus pouvoir vivre à son aise. L'argent n'était pas important pour elle, la seule chose importante: c'était son fils. Elle monta, suivi de son fils, et fit ses bagages. Quand elle redescendit, elle ne se retourna pas, et sortit de la demeure sans un mot, et elle s'étonne d'aucune réaction, mais en réalité, l'homme ne comptait pas la laisser lui échapper comme ça ... Alors que Aryana et Stephen marchait vers la sortit du domaine, bagage à la main, un coup de feu de retentit. Aryana s'écroula aux côtés de son fils, qui ne comprenait plus la tournure que prenaient ses évènements, et le comte arrivait à toute jambe pour tirer une fois encore. Il pleurait, ne pouvant sécher ses larmes. Il avait perdu la dernière personne qui lui restait. Stephen voulait tuer l'homme, mais il savait que sa mère ne voudrait pas, que son fils devienne un assassin alors, il se contenta d'attraper la dague de son père, qu'il avait toujours sur lui, et de lui planter dans le ventre. Il savait que très vite, on le soignerait, car oui, les riches on s'en occupait toujours ...

A présent, il était seul ... Seul avec lui-même. Il allait devoir apprendre à vivre par ses propres moyens. Le souvenir éternel d'une mort atroce pour sa mère s'était emparé de la tête du jeune Stephen Buckett qui restait hanté par cela. Une envie de vengeance. Sa première impression sur cet homme avait été la bonne. Il avait à présent une terrible envie de vengeance, plus qu'un coup de dague. A présent, il devait se battre pour poursuivre sa vie, pour sa mère, ainsi que pour son père ...

Tout deux, s'étant rejoints dans les cieux, liés dans la vie comme dans la mort, rattaché à des souvenirs indestructibles dans la tête de leur jeune fils ...

© Présentation réalisée par Mari-Jane, le plagiat est interdit.

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Chapitre III ♔ Apprendre les durs réalités de la vie de son propre chef, et les affronter sans crainte pour se construire une nouvelle vie ...

"La Solitude est l'état, ponctuel ou durable, d'une personne seule, c'est-à-dire d'une personne qui n’est engagée dans aucun rapport avec autrui.", Le jeune Stephen qui venait de perdre sa mère quelques mois auparavant, connaissait à présent cet état bien plus qu'un autre. Il errait dans les rues de Londres, dormant parfois à la belle étoile, et trouvait parfois grâce à certaines ruses des endroits plus propres pour dormir, des endroits où se laver, mais de quoi vivre c'était plus dur. Il devait voler, mais lui ne souhaitait que voler chez les riches. Il réussissait donc parfois à s'infiltrer dans les cuisines, se faisait aider dans les bars par quelques soulards qui lui parlait de la vie qui était dure, avec des phrases illogique du souvent à l'alcool. Les bars, ils les connaissaient bien maintenant. Un jour, il eut une idée : Trouver des compagnons pour jouer des pièces qu'il écrirait dans des bars.

Il eut du mal à trouver des gens voulant bien faire cela avec lui, mais au bout de quelques mois, le jeune homme qui allait sur sa vingtième année avait réussi à former une petite troupe de 4 comparses. Il négocia avec un gérant de bar à spectacle qui bien que retissant, laissa une chance à la troupe. Le premier soir, ce fut laborieux, mais il réussit à négocier encore une prestation. La deuxième grâce au bouche à oreille surement, le monde grouillait pour voir le spectacle. Le patron demanda donc au jeune homme de réitérer ses prestations, et ils négocièrent donc un logement, soit un petit logement pour les 4 acteurs de la troupe. Le gérant qui possédait quelques petits appartements adjacents au bar accepta.

Un jour, il rencontra une jolie jeune femme de rang noble : il n'avait alors qu'un peu plus de 17 ans. Oh il se méfiait de cette jeune fille aux airs tendres, car la noblesse, il ne l'aimait pas. Il succomba à son charme, et une nuit, ils couchèrent à l'auberge ensemble. Malheureusement, la jeune femme tomba enceinte, le cachant à sa famille, et, ne voulant pas qu'on aprenne qu'elle avait couché avec un de ces pauvres hommes dénués d’intérêt comme elle l'avait dit. Quand elle accoucha, elle le fit secrètement aidé par sa femme de chambre qu'elle avait menacé. Elle déposa ensuite le bébé à l'auberge où vivait Stephen. Le jeune homme était déboussolé, surpris. Il savait que le bébé était le sien, mais la jeune femme l'avait laissé. Il ne connaissait en plus que son prénom, la femme ayant fait exprès de rester mystérieuse. Il l’appela Bastian ... Bastian Buckett ... A partir de ce jour, le jeune homme eut plus de responsabilités, et éleva avec amour son tendre fils. Il voulut retrouver la femme pour se venger, mais il ne la retrouva pas.

De longs mois plus tard, sa vie bascula. Il jouait ses textes sur scènes avec sa troupe dans le très réputée bar à spectacle de l'oncle Barty, quant à la fin, un noble vint lui parler d'un projet. L'homme, Clément Richardson, lui proposa de donner des spectacles dans des soirées mondaines avec sa troupe, et bien sûr, il ne put refuser. Il aurait un bon salaire, et cela était plutôt bien.

Un an plus tard, la troupe se sépara, car le talent que les gens remarquaient toujours plus, était celui de Stephen, et la jalousie faisait rage dans la compagnie. Clément Richardson qui s'était autoproclamé, protecteur de Stephen lui proposa de l'aider pour la suite en solitaire, et il connut le succès grâce à celui-ci. Au départ, le jeune homme ayant une inversion pour les nobles ne faisait pas confiance à l'homme, mais très vite, il vit que lui n'était pas comme tous les autres. Il vécut chez cet homme pendant plusieurs années, avant d'avoir assez d'argent pour se trouver un petit logement ... Malgré un emploi du temps, à ce moment de sa vie bien chargé, il chérissait son fils qui était le seul qui pouvait l'attendrir ... Cette paternité l'avait fait murir, et surement grandir trop vite, il en était conscient ... Il avait retrouvé la femme, cette femme qui quelques années auparavant avait laissé le petit Bastian à Stephen, mais sa vengeance ne put être réalisé, car il découvrit qu'elle avait succombé à une grave maladie ...

Le jeune homme avait réussi. Il n'était pas riche, et ne souhaitait pas le devenir. Il n'était pas devenu bourgeois, ni noble, mais était reconnu pour ses talents d'écrivain et d'acteur, à sa plus grande joie, et fierté ... Son fils avait maintenant 17 ans, et était devenu vaillant, fort, brave. A 35 ans, Stephen Buckett se sentait heureux dans sa vie ...

© Présentation réalisée par Mari-Jane, le plagiat est interdit.

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Chapitre IV ♔ Avancer dans la vie malgré les obstacles, et sans rester figer sur son passé ...

Les années avaient passées, et le jeune homme était désormais un véritable adulte avec ses valeurs, ses ennemis, ses amis, son succès, sa vie ... Il avait réussi à trouver un logement descend où il pouvait passer des heures à écrire certaines fois, comme à certaine le laisser sans vie, pour cause d’expédition vers l'inconnu.

L'homme ne s'était que rarement posés avec une jeune demoiselle ou un jeune homme, il n'avait que des relations d'une nuit. Les quelques relations longues s'étaient soldés d'un échec cuisant. Il gardait tout de même un souvenir magnifique de ces deux vrais relations, car chacune lui avait apporté grand bien, mais la peur de s'engager était revenue à grand pas, à son grand damne, la peur de perdre aussi l’être aimé.

Dans le grand Londres, on le connaissait, oui, on le connaissait pour son jeu d'acteur, et son talent d’Écrivain. Une très jeune chanteuse avait d'ailleurs sans hésitation demandé à Stephen qu'il lui écrive des chansons, car son atout à elle, était sa voix. Dans les ruelles de Londres, on le connaissait aussi pour son envie de faire justice pour les pauvres. Souvent, il aimait se jouer des bourgeois ou nobles qui se prenaient trop au sérieux. Bien sûr, avec le temps, certes son envie de vengeance était toujours là, mais il avait su apprendre à ne pas mettre tout le monde dans le même sac, si bien que parfois, certains nobles ou bourgeois avait pu gagner son estime, mais les autres, il les maudissait sans regret ... N'hésitant pas à se déguiser pour se jouer d'eux, et s'amuser de leurs bêtises, l'homme ne manque pas d'ingéniosité, et hargne quand il s'agit de se venger d'une personne injuste et immorale.

Chers amis, je vous avais prévenu que son histoire n'était pas tout rose dans son entièreté, mais voyez qu'un enfant ayant vécu d'atroce chose peut très bien rebondir, et devenir le roi de son monde ...

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